lundi 24 mars 2008

Top 11 des clips aux danses extravagantes

En voilà un billet bien racoleur ! Un top 10 pour un grande cause, promouvoir la danse bizarre. Je ne vais que rarement en discothèque, et quand cela m’arrive, cela veut seulement dire que j’ai trop bu ou que mes amis m’ont piégé. Mais généralement il s’agit plutôt des deux à la fois.

Pourtant, j’adore danser à ma façon : bien maladroite, mais avec humour. Vous aussi, faites que les clubs de jeunes ne soient plus un concours de beauté agrémenté de danses aseptisées mais plutôt un théâtre de performance gesticulatoire où les gens suent généreusement sans se préoccuper du quand dira-t-on, purée de moine.

Leçon numéro 1, humour et sensualité accessible aux plus laids.

Un clip cultissime mais un peu flippant, ou Aphex Twin exécute une danse disons… désinhibée. Si vous avez la flemme de tout voir (et vous avez tord), la danse commence à la quatrième minute et quarante secondes.



Leçon numéro 2, parodier c’est s’amuser.

Le maître en la matière c’est évidemment Weird Al Jankovic. Et quand le monsieur s’attaque aux célèbres chorégraphies de Michael Jackson, ça nous fait tous passer pour des ringards.



Leçon numéro 3, en slip et en basket, tout devient possible.

Attention, très grand classique du net. On ne se lassera jamais de Yatta, le boys band le plus second degré de la planète.



Leçon numéro 4, le pogo c’est surfait et c’est violent. Privilégiez le grand n’importe quoi.

En rythme si vous pouvez, bande de moules Ă  gaufres.



Leçon numéro 5, même les très bons danseurs peuvent faire un effort.

Ce n’est pas parce que vous savez super bien danser que vous ne pouvez pas utiliser vos talents pour nous faire sourire. Et ce n’est pas Christopher Walken qui me contredira.



Leçon numéro 6 : Le hiphop n’est pas réservé aux prodiges.

Une tenue de bon goût, un objectif œil de poisson, les Beastie Boys sont dans la place.



Leçon numéro 7 : un peu mise en scène peut rattraper n’importe quoi.

Démonstration par nos amis tchèques aux instruments de musiques facétieux.



Leçon numéro 8 : Tous les thèmes sont exploitables.

Difficile de passer à côté de Richard Gotainer, le spécialiste des sujets anecdotiques. Oui, j’aurais pu aussi mettre le mambo du décalco, mais la chorégraphie du Youki est rudement chouette.



Leçon numéro 9 : Du moment que c’est démodé, vous pouvez y aller.

Si vous avez appris Ă  danser la disco ou le cha-cha-cha, franchement, ne vous gĂŞnez pas. En disco apparemment, il suffit de balayer le sol avec ses pompes (3 :24) ou de faire semblant de tomber (3 :02).



Leçon numéro 10 : Dansez en toute circonstance, même sans musique.

Un peu comme dans les performances synesthésiques de Steve Balmer, CEO de Microsoft.



Leçon numéro 11 : Employez un max de personne pour soutenir la cause.

Et si vous en avez les capacités, faites-le avec talent.

Allez hop, tous en marcel ou en tenue de cosplay, au diable les Narta fraîcheur, on va ruiner le kilim de tante Alice !

samedi 10 novembre 2007

Le mardi c'est laverie

"Qui n'a pas perdu quelques heures de sa pauvre vie dans une laverie, ne peut dire avoir vraiment vécu." Tel serait ma leçon de vie si je devais enseigner quelque chose aux générations futures.

Car point d'humanité à la waschmaschine, si ce n'est quelques hypocrites bonjour/au revoir histoire de nous faire croire que nous ne sommes pas des animaux.

Mesdames messiers, bienvenue dans l'antre de toutes les mesquineries, où n'importe quelle sainte nitouche sortie de je ne sais quelle usine à cul-béni lance des regards plus noirs qu'un chat auquel on aurait ôté ses croquettes.

Nous pourrions penser qu'habitant le 8ème arrondissement de Paris, la laverie-réalité en serait changé. Certes oui, nous évitons les mamas chargé du linge de leurs 15 enfants et les crevards qui dorment sous les néons. Mais en échange, nous héritons de spécimens tout aussi extravagants. Vraiment.

Mais avant tout un bref état des lieux. Après deux ou trois mois de pourrissements textiles dans un coin exigu de notre appartement, le constat est accablant. Plus un slip à se mettre et les autres puent ignoblement. C'est mardi, l'heure de la laverie.

Le moment est à choisir minutieusement mais pas trop. Car les théories se transforment souvent en immense fiasco. Ceci dit, si vous n'êtes pas très sport, s'y rendre pendant des matchs de coupe du monde de football ou de rugby reste une valeur sûre. Hors grand évènement de beauferie nationale et si on a le malheur de compter parmi les actifs, on n'a pas vraiment le choix. Mais éviter le week-end semble tout de même être un choix rudement judicieux.

A l'arrivée, c'est souvent le drame. Plus de machine ou alors seulement la 18. "Celle qui marche mal, met deux heures à se faire, et qu'on réserve aux touristes". Tout le monde est à cran. "Vous attendez depuis longtemps ?", "Oui depuis une heure, ces abrutis squattent 8 machines à 4". Ah ? Mais qui est assez stupide pour laver 3 slips dans 20 litres d'eau et 100 grammes de poudre senteur soude ? Nos amis du Qatar, prisonniers d'une curieuse religion liberticide leur interdisant de laver leur linge à l'hôtel.

Attendre 2h30 à la laverie en patientant devant des hublots contenant un calbut et une paire de chaussette nike, franchement, c'est mon kif. D'ailleurs c'est le cas de pas mal de personne apparemment, car ce jour là, nous étions nombreux sous le scintillement des 40 néons.

La magie comportementale peut enfin opérer. Toutes les entourloupes imaginables pour piquer la machine du voisin parti faire de la monnaie. Les nouveaux arrivants squattant devant une machine bientôt cuite et auxquels il faut patiemment expliquer que tu attends depuis une heure et que ça ne va pas le faire. Les nanas complètement psychotiques qui occupent les surfaces disponibles au-dessus des hublots pour plier leur linge et ne supportant pas que tu bouges leur petite culotte pour mettre de la soude à la lavande dans ton compartiment à détergent.

Pourtant tout avait été si bien calibré ! On met le linge, le programme B, et on revient dans une heure, le temps d'une pizza Pino. Mais non. Le sort en a voulu autrement. Une machine qui se libère toutes les demi-heures et le même cirque pour le séchage. Le tout accompagné de grand soufflement, regards froids, messes basses et débuts d'ulcères grandissants.

Ainsi, le mardi à la laverie, on prend conscience de pleins de choses sur la psychologie humaine à l'échelle de madame Michu. On cherche d'abord un consensus, et on finit comme les autres : aigris, hargneux, maudissant son voisin comme un ennemi de toujours. Une grande leçon de vie, presque aussi bien que vivre dans une unité de construction à Bron. Mais ça, c'est une autre histoire.

Zut et flûte ! Je me suis encore fait doubler.

jeudi 7 juin 2007

Génération Y, le cauchemar des RH

En cherchant de l’info sur les X et Y, je suis tombée sur plusieurs sites de ressources humaines faisant état du « problème » des Y. J’ai ri tellement je me suis reconnue dans leurs descriptions.

Commençons par Benjamin Chaminade. Il définit l’entrée des Y dans le monde du travail en 7 points. Deux extraits :
    La fin des réunions : Ecrire un email est déjà trop long, […]. Impatients dans leur langage, ils n’attendent pas un changement lent et régulier mais instantané ! Une réunion sera considérée comme improductive si elle dure plus de 15 minutes. « Quoi ? Encore une réunion aujourd’hui ? Pourtant nous nous sommes vus à la machine à café ce matin ! »

    La fin des questions : Mettons cela sur le compte de l’arrogance de la jeunesse mais il devient difficile d’avoir une oreille attentive tant ils sont sûrs d’avoir déjà la réponse. En réalité, il y a de fortes chances qu’ils aient effectivement la réponse. Une newsgroup, un forum ou un tchat online aura suffi. « Non boss, je ne suis pas d’accord, selon l’étude de l’ADEME, que j’ai trouvée sur le forum cyberacteur, l’électricité est le moyen de chauffage le plus polluant ! »

J’ai beaucoup aimé également les inquiétudes des rédacteurs de cadresonline.com. :
    Et bien entendu, la culture et les comportements de ces jeunes déroutent les recruteurs et dérangent les DRH. Un malaise profond et mal vécu par nombre de professionnels des ressources humaines, qui tentent, tant bien que mal de s'adapter.

Quant Ă  la toile des recruteurs, mĂŞme combat :
    Bref, la génération Y désire des conditions de travail sur mesure : horaires flexibles, formation continue, année sabbatique, congés familiaux, garderie en milieu de travail, liberté et, surtout, autonomie. Demander autant, ça ne s’est jamais vu.

Encore un extrait d’un manager offusqué :
    Ce ne sont plus aux jeunes diplômés de devoir faire leurs preuves mais aux managers ! Par exemple, les premiers à souffrir en ce moment sont les cabinets d’audit qui ont poussés à l’extrême le système « presse citron » faisant l’apologie du stress, des délais de réaction instantanés et des horaires de travail à rallonge.

Mais encore :
    L’importance de ces critères a évolué. Si les jeunes diplômés veulent gagner de l’argent, ils attendent d’abord de s’épanouir. L’enrichissement n’est plus la première motivation comme il a pu l’être dans les années 80. Cette demande d’épanouissement demande aux managers d’être plus cool et de guider plus que de contrôler pour alléger le système hiérarchique.

Mais rassurons nos recruteurs. Les Y sont dit également plus autonome et plus prompt à travailler en équipe. Habitué dès leur plus jeune à âge à utiliser un ordinateur et les outils de communication, ils sont rapides, efficaces, et s’adaptent très facilement aux nouveaux outils.

(la suite dans un prochain billet...)

dimanche 13 mai 2007

Bienvenue chez les bourges

C’est la mode, et j’y succombe. Beaucoup de jeune gens parlent de leur « quartier populaire » sur leur blog. On y apprend pêle-mêle leur bon plan, leur sortie, leur vie sociale palpitante.

Mon « quartier populaire » à moi, c’est le huitième arrondissement de Paris. Et quel quartier !

Loic Le Meur et Thierry Ardisson y siègent, croisant Gérard Lenorman et Didier Barbelivien à la sortie des urnes. Un quartier à 75% à droite toute, à l’image des plus de 65 ans, et de notre formidable député de la quatrième circonscription, Pierre Lellouche, plus sarkozyste que l’original.

Résultats des présidentielles 2007 dans le huitième arrondissement de Paris

Pas étonnant alors d’y voir le siège de l’UMP rue la Boétie, en face des anciens locaux des Echos. A la Madeleine, Hédiard et Fauchon nourrissent nos rentiers qui se lèvent tard. Un peu plus à l’ouest, en remontant le Faubourg Saint Honoré, les voitures de police s’entassent place de Beauvau, condamnant une partie des trottoirs par des barrières et des gardes se relayant en continu pour assurer la sécurité des puissants.

Au nord, c’est le quartier des ambassades et des banques, puis le parc Monceau, un beau parc qui sent le crottin de cheval. Au sud, les Champs-Elysées ruinent des touristes consentants, quelques russkov parvenus et émirs accompagnés de fantomatiques femmes en voile noir.

Saint Philippe du Roule et Georges V en semaine, c’est le bal des costards pressés. 20 minutes chronos pour engouffrer un sandwich végétarien à 10 euros. Le week end, seule la messe du dimanche déplace nos familles nombreuses aux pullovers sur les épaules.

Le huitième, c’est les riches au pluriel. Rentiers, banquiers, carriéristes, s’y côtoient dans une ambiance « café à 6 euros ». Une formidable mixité sociale de droite en somme.

Tout ceci, vous imaginez, est drôlement émoustillant à vivre au quotidien. C’est pourquoi, pour vous chers lecteurs, j’ouvre une nouvelle section sur ce blog, la chronique du huitième. Enjoy.

vendredi 4 mai 2007

Mais qui va voter Sarkozy en masse ?

L’excellent Big Bang Blog a fait une découverte des plus intéressantes. Sur toutes les tranches d’âge analysées, seul les + de 65 ans votent majoritairement Sarkozy.

Observez-bien ce tableau. Autant les moins de 65 ans tout âge confondu sont relativement uniformes quand à leur intention de vote, autant les seniors sont net et précis quant à leur choix.

les 65 ans et plus votent majoritairement Sarkozy

Mais qui sont les seniors et pourquoi votent-ils Sarkozy ?

Si on écoute les lieux communs, les gens qui votent à droite seraient entre autre des ex-soixante-huitards enrichis et revanchards, ou autrement dis, les premiers baby-boomers. Là, cette théorie ne tient pas. Les 18-25 de 1968 sont contenus dans les 50-64 ans de 2007.

Ils avaient donc entre 26 et 66 ans en 1968. Tout au mieux, ils faisaient partis des ouvriers en grève, mais il y a fort à parier qu’ils votaient déjà à droite. Peut être faisaient-ils donc déjà parti de la vieille France, celle qui ne voulait pas que les choses changent, et qui balisait sévère face une jeunesse en effectif renforcé. Car d’une part, le baby-boom a fait exploser les chiffres de natalité, mais en plus de cela, les générations antérieures avaient décrus suite à la guerre de 39-45.

Théoriquement, ils ne sont donc pas très nombreux. C’est le fait que leur vote soit à ce point orienté qui fait que la France bascule à droite.

Plus étonnant encore, c’est la seule génération qui a vécu l’occupation en France, la guerre à domicile. Pourquoi choisir alors un candidat qui visiblement a tendance à polémiquer et semble avoir envie d’en découdre assez régulièrement ?

Moins étonnant par contre, notez que ce sont les retraités qui finalement appellent à "travailler plus pour gagner plus". Cette situation est particulièrement ironique, ce sont ceux qui ne travaillent plus ou qui n'ont jamais travaillé qui veulent que la France travaille d'avantage !

Quelques pistes pourraient nous aider à comprendre ce comportement. D’abord et toujours, le thème de l’insécurité, mais peut être aussi que les seniors ont d’avantage d’argent et de biens (je ne pense pas). Peut être pensent-t-ils qu’avec le père Nico, tout ceci restera leur et qu’avec la môme Royal, les chars russes rentreront dans Paris pour leur prendre leurs biens. Ou peut être parce qu'ils estiment qu'ils ont souffert en travaillant dans des métiers bien aliénants, et que finalement, ça nous fera pas de mal de subir le même sort.

A vrai dire je ne sais pas bien, mes deux grands-pères ne sont pas représentatifs et votent Royal.

Vote réac’ ? Vote individualiste ? Vote de peur ? Ou vote très mûrement réfléchi avec tout un tas de tenants et aboutissants ? N’allez pas me faire croire tout de même que tous les + de 65 ans sont des experts en économie et qu’ils ont pris leur décision après avoir analysé très précisément toutes les propositions, les jugeant plus raisonnables pour venir à bout de la dette. Cette théorie ne tient pas, il n’y a pas plus d’experts chez les seniors que chez les jeunes.

Quelque soit la réponse (et je vous invite à en débattre), une chose est sûre, certains thèmes visent clairement à séduire cet électorat stratégique pour la victoire.

Oui, comme vous, j’ai été étonné de voir débarquer tout d’un coup une mesure du camarade Sarko pour renforcer la recherche sur Alzheimer. La cause est noble, les raisons sont par contre plus suspectes. Il en va de même pour les droits de succession, la revalorisation des petites retraites et autres appels du pied en direction de nos anciens.

Alors ? A quand la défiscalisation des chocolats amers pour gagner les présidentielles ?

J’invite d’ailleurs les candidats à organiser pour 2012 leur débat plutôt entre 16h et 18h. Avant c’est impossible, votre électorat fait la sieste. Et à 18h05, n’oubliez pas qu’il y a question pour un champion, sacrilège.

Sarkozy versus Julien Lepers

jeudi 3 mai 2007

Stupides métaphores sur le sport

Bon dieu de bon sang qu’est-ce que vous avez tous avec le sport ! Depuis quelques semaines, c’est la nouvelle mode, chaque battement de cils de blanche neige et du p’tit nain a droit à sa parabole sportive. Du « essai transformé pour Royal » au « Sarkozy a gagné le match aller, Royal arrive à bout du match retour » sans oublier le « Bayrou voulait être le champion du match, il n'en sera que l'arbitre » tout le monde à le droit à son p’tit commentaire à la Thierry Roland.

Sur la même lignée, fallait voir les commentaires des pipoles lors du dernier meeting de Sarko à Bercy. Impossible de me souvenir des formules exactes, mais en gros, la « finale » doit se jouer entre les deux premiers, on ne dispute pas de match avec le troisième avant d’affronter son adversaire… Et j’en passe.

Alors c’est bien mignon tout ça, mais faudrait pas confondre une élection aussi naze soit-elle avec un match de foot. C’est complètement hors de propos, c’est de la pure paraphrase vide de sens, sauf si on tend à dire que ce scrutin n’est qu’un jeu. (Après tout, si telle est votre opinion...)

Evidemment, Yves Threard, le schmurtz de N’ayons Pas Peur Des Mots sur iTélé, aime bien lui aussi les paraboles toutes moisies. Pour lui Royal joue à l’italienne, comprendre qu’elle slalome entre les questions, tandis que Sarkozy joue à l’anglaise. Merci Yves, grâce à toi on a fait un grand pas dans l’analyse politique ce soir là.

Yves Threard
Yves Threard, la crème du journalisme français

Pourtant dans l’esprit, ça aurait pu faire un bon sketch de beauf toutes ces répliques là. Un genre de compilation de blague façon Pif Poche mais qu’avec du foot et des présidentiables. J’aurais bien vu Bigard le jouer. Sur que dans l’histoire, Royal aurait pris un ballon dans le cul, et Bayrou perdu sa savonnette dans les douches. Et bordel on aurait ri. Oh ça oui. J’en pleure tellement c’est à se fendre la gueule.

Bref, l’effet moundial, ça dure pas que pendant le mondial apparemment. C’est un peu comme la chtouille, une fois que tu l’attrapes, c’est pour la vie.

Journalistes ! Rendez le football aux footballeurs !

Mai 68, Jean-Claude Seine

lundi 15 janvier 2007

Sarko hoho, c'est bien que du pipo

*Edit :* je remonte le sujet car cher visiteur tu n'as pas le choix.
Il faut que tu vois ça.

Populisme quand tu nous tiens !

Pour finir la semaine je vous propose une musique façon "Star Academy" saupoudrées de quelques paroles burlesques et de très subtiles rimes en "O" et "I" sous forme d'une petite vidéo premier degré pour la campagne à l'américaine de notre con-patriote Nicolas Sarkozy (yyyyy).

En bref, un chouette concentré de serrages de main, sourires forcés, drapeaux frônçais et délires du musicos Nicolas Luciani qui carbure un peu trop à la coco ces derniers temps.



Et je me la joue grand prince puisqu'en prime, je vous balance les paroles, comme ça, sans copyright ni rien (Faut pas déconner non plus).

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samedi 14 octobre 2006

On ne dit pas lol

Mais certains font plus que l'Ă©crire, le dire, l'afficher, ils ont font leur fond de commerce.

on ne dit pas lol

A quand la brasserie "ROTFL" et l'hĂ´tel "DANS TON CUL" ?

C'est nous qu'on l'a inventé

Je l'savais, je l'savais !

Les ricains nous pillent tout, raaaaah ! La ville de Redmond ne serait qu'une pâle copie de notre Sèvres (92) national. Très connu pour ses processeurs en céramique et sa RAM en porcelaine, Sèvres incarne en réalité le berceau de la création informatique. Jugez-en par vous même.

Les bourgeois sont de dangereux espions

Si vous avez l’occasion de flâner de temps à autre dans les galeries marchandes des Champs Elysées, avez-vous été assez observateur pour remarquer qu’elles abritent une bonne dizaine de boutique d’espionnage ?

Entre peaux d’animaux morts, costards à une brique et mobilier rococo, vous pourrez également acquérir de magnifiques tenues de poulet, faux pétards et autres gadgets tout aussi exaltants.

Allez comprendre…

La question est : qui est assez canaillou pour acheter ces objets de bons goûts, et comment font les proprios de ces boutiques pour survivre économiquement dans les locaux commerciaux les plus prisés de Paris. Ich will eine réponse !

Espion es-tu lĂ  ?
Espion es-tu lĂ  ?
                 
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